Nous le savions et nous l’avions annoncé, le rouleau d’ordures légales tissé fil à fil à l’abri de la lumière du jour dans les sombres loges fondées sur le béton puant des maçons déicides de la république, béton dur comme granit issu de la fermentation d’esprits congénères auto-éclairés et durcis aux feux nourris de l’orgueil et de la vanité, hommes-dieu, brillants personnages dont l’esprit est logé dans le ventre, en lieu et place du nombril, plus proches du trou du cul que de la tête qui git encore dans la corbeille et dont il ne reste plus que l’émail précieux et blanc des dents, ce rouleau d’ordures s’impatientait et s’apprête aujourd’hui à s’étendre sur notre vieux pays chrétien avec une violence extrême comme si en amont un barrage retenant toutes les défécations du milliard et demi de chinois pendant 1000 ans avait cédé.
C’est sans sourciller que nous assistons à la gay-pride parisienne comme une sorte de fête en forme de préambule à la vague de lois assassines déjà gravées en lettre d’or dans le marbre de la conscience populaire, conscience battue et rebattue comme vulgaire pute revêche par son macro-média.
C'est impassible et sans fermer nos yeux de métal que nous laissons passer les chars-podiums de sodomites arrogants comme autant de Césars franchissant le Rubicon, les cortèges d’assassins en blouses blanches, avorteurs et autres théoriciens de l’évolution ou du bigbang, les troupeaux de porcs et d’artistes blasphémateurs auto promus au rang de stars, les progressistes de cabinets et autres promoteurs immigrationnistes bleus, verts et rouges œuvrant avec un soin et une précision à faire pâlir l'horlogerie suisse à la destruction de la civilisation des moines et des saints catholiques.
L’orage n’est plus devant nous ou perché dans le ciel au dessus de nos têtes, il est entré en nous par force et a envahi tous nos pores. La foudre jaillit de nos doigts et si nous effleurons la plaine elle s’embrasera.
L’orage n’est plus devant nous ou perché dans le ciel au dessus de nos têtes, il est entré en nous par force et a envahi tous nos pores. La foudre jaillit de nos doigts et si nous effleurons la plaine elle s’embrasera.