Brulôt



Bienheureuse Décadence ne peut qu'humblement saluer le temps qui irrémédiablement lui donne raison. Entourés que nous sommes de bons sentiments, se manifeste le jour de la violence et celle-ci était là bien avant l'heure.
Déclarer notre terre : Terre sauvage, c’était une de nos bienheureuses mesures qui était en cohérence avec la dislocation de l’Etat. « Terre sauvage », nous en voyons quelques petits signes avec les vagues de migrants qui viennent secouer avec des résultats plus que mitigés Paris en se faisant péter sans grande maitrise du sujet, ce sont des sauvages, ils manquent d’une formation solide. Reste la dislocation de l’Etat, c’est bien là où dès maintenant il nous faut mettre le paquet sans craindre de se salir. L'heure de la libération sera celle du grand ménage : 600 000 élus républicains, prés de 40 000 journalistes etc. : nous lançons un appel aux analphabètes de Daech, voilà les cibles, ne vous laissez pas distraire par des objectifs "petits-bras" alors peut-être on vous applaudira, pour l'heure c'est nul, zéro : se faire sauter dans une impasse déserte !

Dans un flot de merde véhiculé benoitement nous n'avons cessé de voir les charognes complices.
A Paris des hommes sont morts, pour quoi ? Destiné ? Vocations ? Justice ?
Non et Oui !
Tout cela, c'est la merde qui s'est confronté à la merde, la bêtise à l'idiotie, une génération de publicitaires, d'artistes, de journalistes (que nous n'avons jamais nommé autrement que responsables) s'est confrontée à une autre génération dopée à la Play Station et vivant d'expédients.
Nous n'avons aucun regret, aucun pleur, éventuellement l'amer plaisir du bon débarras, ce que nous inspire ce carnage n’est autre que le dégout, l’écœurement, le même que nous aurions devant la projection d’un film pornographique… Non, non, notre tristesse est plus profonde et nos larmes viennent de bien plus loin, c’est à l’âme que désespérément nous adressons nos suppliques mais de l’âme au Bataclan d’un côté comme de l’autre, nous n’en avons pas trouvé, nous n’avons trouvé que de la chair sanglante qui aurait bien pu être celle d’un troupeau de cochons qu’on égorge, c’est dans cette absence que se trouve notre désespoir, dans ce vide que se perdent nos larmes, pour le reste notre oeil reste sec et notre regard glacial.
Que cent abrutis non choisis sur le volet malheureusement, au moment du Kiss de Devil trouvent sur leur chemin trois énergumènes raidis contre cette atroce idéologie des droit de l'homme, que ces énergumènes soient issues des banlieues fameux terrain des talents à venir, ne peut que nous faire sinistrement marrer. Dans ta gueule le boomerang : vieux ressors du gag.
C'est même délicieux de voir les deux forces contraires à notre idée de nation se massacrer, qu'ils continuent ! 
Lorsqu'un homme sur son visage voit éclore un bouton purulent à la bonne heure il l'explose, c'est ce que vient de faire la France, d'un coup d'un seul, le pus et le point noir.
Ne comptez pas sur nous pour l'émotion, non ! Nous disons 1/1 balle au centre et que le meilleur gagne, continuez à vous battre, jetez vos forces dans la bataille, vous avez choisi le terrain le plus bas, le plus merdeux, celui de la politique et des bons sentiments, crevez avec : l'avenir sera plus radieux.
Aucuns des belligérants pour nous ne représentera jamais la France, ils sont des fruits pourris - bonnes vacances à eux dans les Mystères paradisiaques ou infernaux- nous voyons cela comme une bonne nouvelle : la nation se purge de ses éléments étrangers, hostiles, à ce rythme l'aurore attendue ne tardera pas à poindre.
En attendant voici une nouvelle mesure portant à XVI notre contribution charitable aux lendemains qui chantent…
Un minimum de sens historique laisse apparaître que depuis le replis de nos valeureux croisés, la décadence universelle s'étend. Comment Jérusalem peut-elle raisonnablement rester aux mains des apostats déicides juifs et des hérétiques mahométans : c'est un problème crucial ! Le Christ doit se retourner dans son saint suaire !
Nous espérons vaillamment que se lève à travers l'Europe une jeunesse éclairée et rude ; l'Allemagne avait fait cette tentative… maladroitement… non sur la méthode mais sur l'objectif, prier sous des chênes et courir nus dans les prés, n'importe quoi ! Il fallait reprendre Jérusalem plutôt que de s'allier aux sionistes.
C'est la condition de notre résurrection en tant que peuple : la Croisade.